ÇA COMMENCE AUJOURD’HUI aborde pour ce premier direct de la rentrée, un thème crucial

Émission spéciale à revoir en replay sur France tv si vous l’avez loupée vendredi dernier sur France 2.

75% des adolescents avouent craindre l’avenir

Cette émission explore les défis émotionnels de nos adolescents.

Faustine Bollaert y reçoit à l’écoute de trois jeunes adolescents venus sur le plateau de « ça commence aujourd’hui » pour nous livrer leurs témoignages sur la dépression ou encore le syndrome d’anxiété profonde qu’ils ont pu subir durant leur adolescence.

Une émission pour comprendre les mécanismes, tenter d’expliquer et explorer les raisons de ces dépressions qui touchent de plus en plus de nos ados.

Mathilde, 19 ans, étudiante ingénieure à Lyon, a été poussée vers la dépression par ses angoisses liées au changement climatique à 15 ans. Convaincue de la fin du monde imminente en 2030, elle a adopté des habitudes de vie obsessionnelles pour lutter contre. Le COVID-19 et le confinement ont aggravé son isolement, la conduisant à une désocialisation profonde. C’est grâce à l’aide d’un psychothérapeute qu’elle fait des progrès pour surmonter son syndrome d’anxiété généralisée et sa dépression afin retrouver un sens à la vie.

Antonin, 19 ans, monteur vidéo à Caen, a surmonté une dépression débutée à 14 ans suite à du harcèlement et cyber harcèlement scolaire. Isolé et en proie à la peur du monde extérieur, le confinement a accentué ses angoisses et son rejet du monde.
Grâce à une vidéo de développement personnel, il a un déclic et trouve la motivation pour se rétablir avec le soutien d’une psychologue. Il obtient son bac et une place en BTS audiovisuel, un retour à la vie progressive.

Manon, 24 ans, aide-soignante à Lyon, a été affectée par la pression scolaire dès le lycée, entraînant une dépression avec symptômes hallucinatoires. Angoissée par les attentes parentales pour une filière scientifique, elle a souffert de phobie de l’avenir et a finalement abandonné ses études de lettres pour des études d’infirmière. Bien qu’elle n’ait pas réussi à devenir infirmière, elle est fière de sa lutte contre ses problèmes de santé mentale et de son rôle d’aide-soignante aujourd hui.

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