Charles.co déconstruit les idées reçues sur la sexualité masculine avec sa nouvelle étude.
Aujourd’hui, nous parlons de plus en plus de sexualité avec l’explosion des podcasts, des réseaux sociaux et des séries…
Il reste toutefois encore beaucoup de tabous et de préjugés autour de la sexualité masculine.
En effet, souvent abordée avec humour, il est rare que les hommes osent parler de leurs troubles sexuels et de la pression qu’ils peuvent ressentir au lit.
C’est pourquoi Charles.co a décidé de casser les idées reçues et les préjugés sur la sexualité masculine avec son étude* !
Réalisée en Octobre 2022 en partenariat avec YouGov, Charles.co a interrogé plus de 1 000 hommes partout en France afin de mieux comprendre leurs habitudes et leurs inquiétudes en ce qui concerne leur sexualité.
De cette étude ressort notamment 4 enseignements qui brisent totalement les préjugés qui persistent encore sur la sexualité masculine :
Première idée reçue : les hommes ne stressent pas au lit.
Il est grand temps de mettre fin à cette croyance autour de la pression ressentie par les hommes, puisqu’ils sont près de 7 hommes sur 10 à ressentir une pression à l’idée de décevoir leur partenaire lors du rapport. Étonnamment, les hommes célibataires sont moins stressés à l’idée de décevoir leur partenaire (60%) que les hommes mariés dont 73% avouent appréhender ce moment.
Pour 97% des interrogés, la principale raison évoquée est la peur de ne pas faire atteindre l’orgasme à leur partenaire. Cette peur résulte d’une idée reçue qui tend à affirmer qu’un bon rapport sexuel équivaut forcément à un orgasme. Pour 92% des hommes, la durée du rapport est également un facteur jugé important, pouvant entraîner une certaine pression, s’ils jugent le rapport trop court ou trop long.
👉 L’avis du Dr Gilbert Bou Jaoudé :
« Beaucoup d’hommes pensent que le rapport sexuel est une sorte de performance à accomplir et non un moment de plaisir à partager. De plus, ils pensent que cette performance est basée sur la pénétration comme dans la plupart du porno. Ils oublient ou ne savent pas que ce n’est pas cette performance-là qui est le socle du plaisir de leur partenaire. »
Deuxième idée reçue : Les hommes ont tout le temps envie de faire l’amour.
Les facteurs propres au rapport sexuel (durée, orgasme, ect) ne sont pas les seuls éléments à impacter la vie sexuelle des hommes. L’angoisse, la santé, le travail, les problèmes de la vie quotidienne… sont autant de causes qui peuvent affecter la libido et la sexualité masculine. Ainsi, la santé mentale (62%) arrive en première place du classement, quasiment ex-aequo avec le travail (61%), des éléments pouvant altérer la sexualité masculine. Le rapport aux écrans comprenant réseaux sociaux et télévision (48%) se positionne à la troisième place des facteurs influant sur la vie sexuelle des interrogés.
👉 L’avis du Dr Gilbert Bou Jaoudé :
“Il ne faut pas distinguer le désir masculin du désir féminin puisque le désir sexuel est propre à chaque individu – quel que soit son genre, son identité ou son orientation sexuelle. En effet, il est important de comprendre comment son propre désir sexuel fonctionne.”
Troisième idée reçue : Les hommes n’aiment pas prendre leur temps en matière de sexe.
Il est de coutume de penser que les hommes sont pressés de passer l’acte sexuel et prennent peu de temps à apprécier et faire durer les préliminaires. En réalité, la gent masculine est bien plus patiente que l’on pourrait le croire puisqu’ils sont 97% à qualifier un bon rapport sexuel comme un rapport avec préliminaires.
Il semblerait que plus l’on vieillit, plus on prend le temps !
En effet, l’importance des préliminaires ne cesse d’augmenter avec l’âge, passant de 90% pour les 18-24 ans à 98% pour les plus de 55 ans.
Quatrième idée reçue : Les hommes sont des coureurs de jupons.
L’étude Charles.co vient mettre à mal les théories de l’homme Don Juan qui multiplie les conquêtes et accorde peu d’importance à son partenaire. Ainsi, 9 hommes sur 10 considèrent comme important le fait d’être en couple avec leur partenaire sexuel et 48% considèrent que c’est très important.
Alors, et si on arrêtait enfin les clichés sur la sexualité masculine ?
Pour plus d’information sur l’étude, rendez-vous ICI