Comme la quasi-totalité des Festivals, JAZZ IN MARCIAC a dû reporter sa 43ème édition à l’été 2021.
Un été sans Jazz in Marciac ? Impossible !
Cette année, Jazz in Marciac devient Jazz at Home. Et ça commence demain!
L’équipe de JAZZ IN MARCIAC fera vivre l’édition 2020 d’une autre manière. À partir du vendredi 24 juillet, des concerts d’anthologie seront programmés durant toute la période à laquelle était initialement prévu le Festival.
Ces concerts seront diffusés à la radio sur France Inter et France Musique, à la télévision sur Mezzo, et sur internet par le site JAZZ IN MARCIAC.
Les archives de Jazz in Marciac sont une caverne d’Ali Baba : tous ses amoureux pourront ainsi découvrir ou retrouver de véritables pépites.
À partir du 24 juillet jusqu’au 16 août il sera donc possible d’écouter le meilleur du festival – tiré des archives de Jazz in Marciac – sur France Inter, France Musique, Mezzo et jazzinmarciac.com !
DÉCOUVREZ LE PROGRAMME DU FESTIVAL VIRTUEL
Le festival poursuit ainsi sa si belle histoire…
France Musique partenaire légendaire du Festival a pris l’habitude d’y poser ses micros pour une série de soirées mémorables chaque année.
La radio a donc choisi cette année de garder cette philosophie qui est la marque de Jazz in Marciac. Celle d’une « orgie de musique, de swing, de groove… et de partage ».
Ce sera 20h-minuit, en diffusant une sorte de « best of » des 42 éditions précédentes dans les archives de l’Ina et de Radio France.
Exactement comme lors du « vrai » festival, chaque soirée est découpée selon un tempo… ternaire.
20h-21h : un apéro-concert avec la mémoire du saxophoniste Guy Lafitte (disparu en 1998), co-fondateur du festival, qui fut programmé dans un contexte différent chaque année, suivi vers 20h20 d’une « mi-temps de grâce». Eh oui, le chapiteau du festival est installé sur le terrain de rugby : Kenny Clarke (1981), Roy Hargrove (1992), Barney Wilen (1995), Michel Portal en duo avec Jacky Terrasson (2007), Richard Galliano en duo avec Eddy Louiss (2001) et Didier Lockwood (1986).
21h-22h30 : un premier concert « historique », dans son intégralité Michel Petrucciani solo (1996), Wynton Marsalis septet (1991), Dee Dee Bridgewater (1988), un all-star Tribute to Charlie Parker avec Hank Jones, Phil Woods et Tom Harrell (1990), la première rencontre de Ahmad Jamal et Yusef Lateef (2011) et The Bad Plus avec Joshua Redman (2012).
22h30-minuit : un second concert « magistral », dans son intégralité : Herbie Hancock (1994), Dizzy Gillespie (1985), Dianne Reeves (1998), Betty Carter (1994), Stan Getz (1990) et Sonny Rollins (1989).
[…] de Manhattan, elle trouve un sens à sa vie et se lie d’amitié avec les plus grands musiciens : Art Blakey, Dizzy Gillespie, Charlie Parker et… Thelonious […]